Crèvecœur is pleased to present the first solo exhibition in Paris by Tomasz Kowalski (b. 1984, Szczebrzeszyn, Poland) which unveil a new space of the gallery at rue de Beaune.

Kowalski’s compositions unfold in staged interiors: theatre halls, metro cars, mirrored corridors, screens. These are spaces of delay and projection, where vision is redirected and orientation is uncertain. Structural frames, reflections, and abrupt shifts in depth break up the image and invite a slower reading.

The stylized figures that populate these settings recall the geometric abstraction of Oskar Schlemmer, whose Bauhaus-era work integrated the human body into spatial choreography. At the same time, Kowalski draws on the more intuitive, psychologically charged language of Polish postwar surrealism.

Working with a restrained palette and flattened spatial logic, Kowalski builds scenes through repetition, rhythm, and formal tension. Each image functions like a constructed pause: precise, schematic, and subtly disorienting.

Tomasz Kowalski’s selected solo exhibitions include Gdansk City Gallery (PL); Clearing, New York (US); Dawid Radziszewski Gallery, Warsaw (PL) ; Contemporary Art Museum St. Louis (US); Centre for Contemporary Art Ujazdowski Castle, Warsaw (PL). His work is part of the institutional collections — Centre Pompidou (FR), MUMOK (AT), MOCAK (PL), Frac des Pays de la Loire (FR), Pinault Collection (IT), Fondazione Bonollo, Verona (IT); among others.

Crèvecœur a le plaisir de présenter la première exposition personnelle à Paris de Tomasz Kowalski (né en 1984 à Szczebrzeszyn, PL) qui devoilera le nouvel espace de la galerie rue de Beaune.

Les compositions de Kowalski se déploient dans des intérieurs mis en scène : salles de théâtre, rames de métro, couloirs à miroirs, écrans. Ce sont des espaces d’attente et de projection, où la vision se détourne et l’orientation devient incertaine. Cadres architecturaux, reflets et ruptures abruptes de profondeur fragmentent l’image et invitent à une lecture ralentie.

Les figures stylisées qui habitent ces environnements évoquent l’abstraction géométrique d’Oskar Schlemmer, dont l’œuvre, empreinte de l’esprit Bauhaus, intégrait le corps humain à une chorégraphie de l’espace. En parallèle, Kowalski puise dans un langage plus intuitif et psychologiquement chargé, hérité du surréalisme polonais d’après-guerre.

Travaillant avec une palette restreinte et une logique spatiale aplatie, il construit ses scènes par la répétition, le rythme et la tension formelle. Chaque image fonctionne comme une pause construite : précise, schématique et subtilement désorientante.

Parmi ses expositions personnelles récentes figurent : Gdansk City Gallery (PL), Clearing, New York (US), Dawid Radziszewski Gallery, Varsovie (PL), Contemporary Art Museum St. Louis (US), Centre for Contemporary Art Ujazdowski Castle, Varsovie (PL). Son travail fait partie de collections institutionnelles telles que le Centre Pompidou (FR), le MUMOK (AT), le MOCAK (PL), le Frac des Pays de la Loire (FR), la Collection Pinault (IT), la Fondazione Bonollo à Vérone (IT), entre autres.